dimanche 6 septembre 2015

Botanical garden (Puducherry) gets a new lease of life

With a history spanning 189 years, the Botanical Garden is among the oldest on the Coromandel Coast. Photo: S. S. Kumar
With a history spanning 189 years, the Botanical Garden is among the oldest on the Coromandel Coast. Photo: S. S. Kumar The Hindu.

The facility was thrown open after the first phase of a Rs. 8-crore renovation initiative

Being a locale featured in Ang Lee’s Life of Pi may have just been a fame multiplier for even otherwise, many aspects of the city’s landmark Botanical Garden are pretty awe-inspiring.
On Monday, the Botanical Garden was opened after the first phase of a Rs. 8-crore renovation and beautification initiative, .
Lieutenant Governor A. K. Singh launched the new-look garden in the presence of Chief Minister N. Rangasamy, and Tourism Minister P. Rajavelu.
Later, they did a quick tour of the facilities accompanied by V. Balan, MLA and an entourage of officials led by Chief Secretary Manoj Kumar Parida and Tourism Secretary Mihir Vardhan.
The add-ons, set up at an estimated cost of Rs. 4.81 crore, include a nature centre, lily pond with Ashlar bridge, jogging track, shrub bed, kid’s play area, a renovated joy train for children and signages.
The second phase involves landscaping, an outer jogging track, a glass house, maze garden, an aquarium with a pond and provisioning additional ticket counters and toilets and parking facilities.
A butterfly conservatory, laser fountain, taxonomical park and staging annual flower shows are also part of the expansion plans.
The Botanical Garden (Le Jardin Botanique) established in 1826 by French botanist G. S. Perrottet encompasses 11 hectares of natural bounty that features indigenous and exotic flora ranging across evergreen, semi-evergreen, deciduous and tropical dry evergreen species.
With a history spanning 189 years, the Botanical Garden is among the oldest on the Coromandel Coast, and perhaps the only one of its kind on the East Coast.
The collection includes over 2,400 trees, 213 genus types and 293 species. Shrubs, medicinal plants, palm collection, fossils, foliage, ornamental plants, cycads and fruit trees provide variety. The oldest trees of the Bombax and Khaya genus go back 175 years.
Over the years, the government had been seized of the need to develop the garden to serve the interest of urban eco tourism and provide a green recreational space for visitors. Following a report by a steering committee to formulate a master-plan in 2002, it was decided to redesign the garden based on the objective of turning it into a prime tourist destination, revamp the way the landscape presented itself to visitors and to make the engagement more exciting for visitors by ramping up recreational values in addition to the informative function of the ecosystem.
The renovation and beautification was launched under the Centrally sponsored scheme “Development of Puducherry as a Mega Tourism Circuit’ where the Centre and UT Government shared the costs.
The plans suffered a major setback after the havoc caused by Cyclone Thane in 2011 which left the garden extensively damaged and about 300 trees completely uprooted. The Agriculture Department, which is the custodian of the premises, had been engaged in the restoration of the flora.
In September 2014, the Lt. Governor, who undertook a visit to the garden, was unhappy with the progress of the renovation and restoration and issued instructions to adhere to timelines for each phase of the project.
If work progresses on schedule, the second phase of work to make the garden a “living classroom, a picnic spot for children and tourists and a tranquil spot for the meditative minds” should be ready in a year. 

mardi 1 septembre 2015

22% monsoon deficit in August, third driest since 1993

Adding to the bleak scenario is the prospect of the monsoon's retreat beginning soon. "The start of monsoon withdrawal is on cards," said IMD director-general L S Rathore.



The monsoon's retreat, beginning from northwest India, is declared by IMD based on three criteria observed in the region — absence of rain for at least five straight days, a significant drop in moisture and reversal of monsoonal winds by the formation of an anti-cyclone. "We are seeing signs of the first two conditions. In the next few days it is likely that all three criteria will be met," Rathore said.
Monsoon's withdrawal from the country is a long drawn process that usually takes more than a month to complete. Although the normal date for the process to start is September 1, monsoon's withdrawal at this stage from northwest India would increase the rain deficit in the region where Punjab, Haryana and west Uttar Pradesh already have a significant shortfall.http://timesofindia.indiatimes.com/india/22-monsoon-deficit-in-August-third-driest-since-1993/articleshow/48752059.cms

mercredi 25 mars 2015

Fin de la 1ère quinzaine : De Karur, retour à Karaïkal

Le 21 Février 2015.

Après une nuit à Karur, et un petit déjeuné Indien (chapati, épices...) nous avons repris la route.

Direction le barrage de Sir Arthur Cotton, homme anglais qui développa l'irrigation en Inde dans les années 1830.
Ce barrage permet d'irriguer les champs jusqu'à Tanjore, cela représente environ 200 km.
 Lors  de sa construction, l'infrastructure à coûté 200 000 roupies (à l'époque 1€ = 10 roupies, désormais 1€ = 70 roupies) aujourd’hui sa valeur est inestimable.
Celle-ci est composée de 45 vannes qui permettent réguler le niveau de l'eau.
La capacité du barrage représente 270 000 pieds ( 1 pied = 30 cm) au cube, avec une hauteur maximale de 251 mètres et une longueur de 650 mètres.


L'eau accumulée à ce barrage provient du Karnataka, un Etat situé au dessus du Kerala.
 Ce premier barrage est relié à deux autres pour permettre d'irriguer l'Est du Tamil Nadu et surtout de réguler l'eau lors des moussons pour éviter les inondations.


Aux abords du barrage, on peut également observer une nouvelle organisation de vie :
- des enfants qui pêchent
- des écoliers qui visitent
- des chargements impressionnants
- des singes qui se prélassent

L'après-midi, le professeur Indien, Naranayan qui nous accompagnais nous à fait visiter un nouveau temple. Dans les alentours (ruelles) la vie d'organise différemment.
 De nombreux petits commerces sont présents. Comme il est de coutume avant de rentrer dans un temple nous nous sommes tous déchaussez. Une fois à l'intérieur, les couleurs étaient au rendez-vous. Des Indiens se sont mêmes prêtés au jeu des photos.




En fin de journée nous sommes partis visiter une boutique de textile, ou l'un des professeurs Indiens nous à offerts des serviettes en coton, avant de nous inviter chez lui.
Arrivé chez le professeur d'agronomie, nous avons eu la chance de visiter une maison typiquement Indienne avec un lieu de prière. Puis nous avons fais connaissance avec sa famille qui nous avait préparer des entremets délicieux.
Avant de quitter les lieux, petite photo souvenir et en sortant des enfants du voisinage sont venus nous saluer, l'accueil en Inde est particulièrement chaleureux.
Le Tour du Tamil Nadu c'est donc terminé par ces instants de partage, désormais nous sommes de retour à l'Université de Karaikal, et pour nos professeurs Français c'est la dernière nuit en Inde. A partir de demain, on change d'équipe Indienne et on continu sans nos professeurs.

Cassandra et Killian.

De Salem à Karur

Le 20 Février 2015.

Aujourd'hui, nous nous dirigeons vers la ville de Karur. Plusieurs arrêts sont au programme.

Le premier arrêt débute par la visite de Rasi Seeds, une entreprise de semence, spécialisée dans le coton.

Cette entreprise est située à Attur, elle a été créée il y a 43 ans par le Docteur Ramassani. Cette firme est reconnue mondialement dans la semence de coton (top 10) mais aussi à l'échelle nationale (top 3).

Cette entreprise créée des semences hybrides via une société tierce puisque Rasi Seeds s'occupe ensemencer des parcelles, mâles et femelles mais utilise un prestataire pour s'occuper chaque jours de la pollinisation, travail effectué à la main. Cela permet à cette industrie de les vendre séparément afin de répondre aux besoins des agriculteurs. Elle créée aussi des semences OGM résistantes aux vers roses. Ce gène de résistance à été acheté à la firme Mosanto.

Pour finir, Rasi Seeds produit également des semences traditionnelles. Des agriculteurs ont des contrats de semences. La récolte arrive à l'industrie, ensuite le coton et la graine sont séparés par un procédé mécanique pour les grosses parties et chimiquement avec du sulfate d'hydrogène. Les graines sont ainsi triées et traitées puis mises en sacs. 600000 sacs sont vendues chaque année. Aucune exportation n'est encore réalisée mais des essais d'exportation vers l'Afrique (Bangladesh) sont en cours.


A la fin de la visite, le directeur de l'entreprise nous  à invité à déguster quelques spécialités Indiennes, gâteaux et thé, c'était une belle façon de terminer la visite de la firme qui accueillait des Français pour la première fois.

Le midi, brève arrêt pour manger avant de reprendre la bus. Au menu friands épissés et pâtisseries Indiennes ! 

La journée c'est poursuivie par un second arrêt, cette fois si dans une ferme avicole.
Le propriétaire de l'exploitation baigne dans l'agriculture depuis son plus jeune âge, il a arrêté l'école lorsque sont père est décédé, pour reprendre l'exploitation. La production de celle-ci doit donc subvenir aux besoins de toutes la famille, y compris les grands parents.
L'arrière grand-mère du propriétaire a travaillé jusqu'à ses 70 ans dans la ferme, elle en a 90 actuellement et étant veuve, la tradition exige de ne plus porter de bijoux ni de vêtements colorés.


La spécialité de l'exploitation est l'élevage de poules pondeuses, celui-ci est conduit de la manière suivante : 
- achat de poussin âgés d'un jour gardés dans un premier bâtiment de type "poulailler" jusqu'à 18 semaines.
- les poules sont ensuite mises par quatre en cage (dimensions = 18 pouces / 18 pouces ) et y resteront jusqu'à 75 à 78 semaines.
- pour finir, direction le marché où elles y seront abattues (en tant que poules pondeuses la viande n'a pas la même qualité).
- ensuite, renouvellement et nettoyage des bâtiments de lot, tiers par tiers puisque l'ensemble du  bâtiment est divisé en trois partie, 

Actuellement, l'exploitation compte 3000 poussins et 5000 poules. Les poules produisent en moyenne un œuf par jour, ce qui correspond à environ 4000 œufs par jour, car environ 80 % d'entre elles pondent. Les œufs sont vendus par palette à 3 roupies (monnaie locale) par œuf. Ces œufs sont relevés et ensuite sont expédiés 4 jours par semaine au marché. Ils peuvent se conserver entre 15 et 20 jours après la ponte.
Quant à la viande, elle est vendue à 45 roupies /kg de poule, mais les prix peuvent atteindre les 60 roupies / kg.

En ce qui concerne l'alimentation, un ensemble de 17 ingrédients sont achetés très près des marchés (exemple : blé cassé, maïs, millet, céréales...poissons séché, puisqu'ils ont le droit à la farine animale...). Pour l'eau, c'est une citerne qui alimente des tuyaux dans les cages des poules.
Les fientes produites sont récupérées à chaque nouveau cycle et utilisées comme fertilisant pour les champs.

Au niveau sanitaire, quelques réglementations sont renouvelées à chaque cycle. Pour éviter d'éventuelles blessures, l'éleveur coupe (deux coupes) le bout du bec de chaque poule. Sans oublier que dans sa vie, chaque poule reçoit  un médicament en 13 injections. 
Mis à part les serpents, les poules n'ont pas de prédateurs. De plus, pour construire des bâtiments il n'y a pas de normes à respecter, cependant une traçabilité est nécessaire mais il n'y a pas de label.

L'exploitation n'a pas modifié son type d'activité, elle s'est simplement modernisée.
L'objectif de l'agriculteur est de poursuivre la construction d'un nouveau bâtiment afin d'agrandir sa production.


         Cages des poules 

                                                                          Palette d’œufs 






Sur l'exploitation, on peut également trouver une autre source de revenu ou de consommation personnelle.  Quelques exemples :  cacahuètes, plantes médicinales, tubercules de manioc, drumstik, fleurs de jasmin, etc ...



                Cacahuètes
                                                                              Jasmin 






Avant de quitter les lieux une photo de groupe s'impose pour garder un souvenir de cette rencontre, riche en découverte et en échange : à la fois culturel, et professionnel, sur l'Inde mais aussi sur la France.





Pour terminer la journée, après notre départ nous sommes remontés dans le bus pour terminer le trajet vers Karur. Une fois arrivé à l’hôtel, nous avons pris le temps de nous installer, d'aller manger au restaurant puis de prendre une bonne nuit de repos avant  de poursuivre le Tour. 


Cassandra et Killian.

mardi 24 mars 2015

De Pondichery à Karaikal

Jeudi 12 février 2015 :

9h, après une bonne nuit de sommeil, nous prenons un petit déjeuner indien à l’hôtel. Ensuite nous nous séparons en plusieurs groupes, certains allant visiter un temple pendant que d’autres font les magasins ou reste à l’hôtel. 
14h, nous chargeons les valises sur le toit du bus pour 5h de trajets sans clim. Nous saluons les personnes du RAM GUEST HOTEL qui nous on accueillit et ont été très gentils avec nous. Dans l’après midi nous nous arrêtons pour visiter un temple et assister à la cérémonie. 
Arrivés à Karaikal à 19h30 à l’université Pajancoa « première impression », nous sommes loin de notre confort français, les insectes et moustiques sont aux rendez-vous. Nous expérimentons nos premières douches aux sceaux d’eau froide ainsi que les toilettes à l’indienne. Les étudiants de l’université sont très heureux et content de nous rencontrer et de pouvoir échanger avec nous.
Ils font d’énormes efforts pour nous faire des repas les plus « français » possibles.

Vendredi 13 février 2015 :

8h, petit déjeuner copieux à la cantine de l’université pour préparer une bonne journée.
10h, nous avons à une cérémonie de bienvenue par le directeur et les professeurs. Des guirlandes sont mises à chacun d’entre nous, après les discours du Dean et des professeurs. 
L’après midi, M. Viguier présente le GPS aux étudiants, puis des groupes sont formés, composés de nous et d’étudiants indiens, pour tracer une partie du parcellaire de leur université. Avant le repas, les étudiants nous proposent un magnifique spectacle, avec beaucoup de danses et de chants. Nous y participons en leur interprétant des chants et des danses françaises. S’en suit une partie de volley-ball après le repas, en équipes mixtes (françaises et indiennes) et d’autres rencontres et discussions avec les étudiants du Pajancoa.  










Loïc et Ambroise 

mercredi 18 mars 2015

L'orphelinat


Du 28 février au 4 mars 2015, pendant que les garçons étaient dans des usines, nous, les filles, sommes allées à l'orphelinat. Le premier jour, après 1h30 d'attente devant la villa dans laquelle on logeait est arrivé le professeur indien pour nous dire que l'orphelinat n'avait pas besoin de notre aide ce jour et que cette journée sera donc notre première journée de repos du mois.
 
Le lendemain, 01/03/2015, comme convenu, une voiture est venue nous chercher et nous a emmené à l'orphelinat des garçons dans la périphérie de Pondichéry où nous avons rencontré ces enfants avec qui nous avons joué. Les personnes qui s'occupaient de nous parlaient peu anglais, elles nous ont fait comprendre qu'il fallait remonter dans la voiture, celle-ci nous a emmené à l'orphelinat des filles plus écarté de la ville. Les femmes présentes sur place nous ont fait visiter puis faites asseoir afin de regarder les filles de l'orphelinat qui dansaient. Nous avons pris un repas et sommes retournées à la villa, nous devions retourner à l'orphelinat des garçons le soir pour y voir un spectacle. Celui-ci était fait par les enfants des deux orphelinats sous la directive de professeurs de musique et de danse. Il a duré environ 3 heures, nous avons été très étonnées par les performances de enfants. Ils chantaient, dansaient, faisaient de la musique et des acrobaties. C'était un très beau spectacle. Il y avait beaucoup de français présents sur place, l'une d'entre nous a questionné une femme et celle-ci lui a dit que tous les français présents ce soir là étaient des personnes qui faisaient régulièrement des dons à l'association. Nous n'avions toujours pas rencontré la responsable mais au retour dans la voiture, sa sœur était présente, nous avons fais connaissance avec, elle vit au Canada et vient rendre visite à Alice (responsable de l'orphelinat) 3 semaines par an.


Extrait vidéo du spectacle :
Jeunes garçons puis deux handicapés dans des numéros de contorsion
 

Filles de l'orphelinat lors de chants et de danses

Le 02/03//2015, la voiture est venue nous chercher de bon matin et nous a emmené à l'orphelinat des filles. Toujours avec les femmes qui parlaient peu anglais, celles-ci nous ont emmené dans le jardin, on pensait qu'on allait devoir arroser les plantes ou encore planter quelque chose mais elles nous ont fait comprendre que nous devions transporter un très gros tas de sable sur le toit d'un bâtiment. Seulement 4 sur les 6 filles étaient présentes les deux autres étant malades, nous avons donc monté ce sable à l'aide de seaux. Nous avions un jardin à traverser, 28 marches dont deux très hautes à descendre et à remonter, il faisait chaud et nous étions en pleins soleil... nous avons donc demandé à arrêter cette activité ce jour pour recommencer le lendemain. Elles ont accepté.

Le 03/03/2015, comme nous nous y attendions et comme nous l'avions promis, nous avons terminé de déplacer le tas de sable qui avait bien diminué dans le jardin et bien grandi sur le toit. Ce n'est qu'à midi que nous avions terminé. C'était un après midi de repos bien mérité !

Cour centrale de l'orphelinat des filles
 
Le 04/03/2015, dernier jour, nous n'avons toujours pas vu Alice, la responsable. On réussit à faire comprendre au femmes de l'orphelinat qu'on aimerait la voir ayant un don à lui remettre ainsi que des cadeaux pour les enfants. Les femmes nous ont dit qu'elle devait venir nous voir en fin de matinée. En attendant, elles nous ont une fois de plus emmené dans le jardin, cette fois-ci pour le désherber.. à la main ! Les femmes nous ont ce coup-ci aidé, nous avons donc fini assez tôt pour attendre l'arrivée d'Alice. Lorsqu'elle est arrivée, celle-ci s'est excusée de ne pas avoir pu être présente plus tôt. On lui a donné ce qu'on avait à lui donner puis elle nous a demandé ce qu'on avait pensé de notre stage à l'orphelinat puis de l'Inde en général. Ensuite nous avons posé des questions concernant l'orphelinat. Nous avons alors appris que l'orphelinat n'était pas constitué que d'enfants n'ayant plus de parents, il y a aussi des enfants dont les parents n'ont pas assez d'argent pour s'occuper d'eux, et des d'autres dont la mère est seule et est devenue prostituée. Les enfants qui n'ont plus de parents sont peu nombreux. Nous avons aussi questionné Alice sur le spectacle que nous avons vu l'autre soir, elle nous a dit qu'il s'agit d'un spectacle qui a lieu tous les 3 mois, celui-ci permet de voir le progrès des enfants, il permet aussi aux frères et sœurs de l'orphelinat de se voir ceux-ci étant séparés. Les plus jeunes enfants de l'orphelinat ont 3 ans, les plus vieux sont proches de l'âge adulte, l'orphelinat les accompagne jusqu'à ce qu'ils soient mariés. L'orphelinat est constitué de 125 garçons et de 60 filles.


Ce stage à l'orphelinat était une bonne expérience, même si on aurait préféré voir les enfants davantage. Pour nous remercier, Alice nous a offert à chacune d'entre nous une boîte à bijoux en bois ainsi qu'un porte clé avec un éléphant en bois également.



Mathilde M. , Blandine D.C. , Elisa B. , Marie T. , Cassandra R. , Cécile F.