vendredi 21 février 2014

Visite d'un élevage de poulet

Visite d'un élevage de poulet

Le 13 février 2014, nous nous sommes perdus dans un petit village dont le nom nous a échappé, pour visiter un élevage de poulets de chair conventionnel.
Dès notre arrivée, la modernité de l'élevage nous a surpris. L'agriculteur nous a appris qu'il était en contrat intégré, il a un cahier des charges à respecter. L'éleveur ne s'occupe pas de choisir la nourriture, qui est composée de maïs, soja, son, et farine de poissons.
Les poussins arrivent à un jour et pèsent 80 gr. Ils passent deux jours dans une nurserie et sont ensuite placés dans le « parc » ou il seront élevés. Ils seront donc nourris avec le grain décrit ci-dessus. L'élevage des bandes dure 7 semaines au cours desquelles ils devront être vaccinés à 6 jours, 10 jours et 18 jours. L'eau et la nourriture sont distribués comme dans nos élevages français, c'est-à-dire à l'aide de nourrisseurs en libre distribution. De plus, la densité de poulet est de 10 oiseaux par m², ce qui est seulement un de plus que notre norme. A la fin des 7 semaines le poulet doit avoir atteint un poids de 2,5 kg, pour ensuite être vendu. L'éleveur touchera 7 roupies par kg ce qui revient a 15 Roupies par poulet. Suite à la vente de ses poulets l'éleveur effectue un vide sanitaire de 2 semaines au cours duquel, il videront  la litière sur laquelle il ne font aucun profit puisqu'ils la vendent au même prix que celui d'achat. Grâce à cette méthode l'éleveur peut passer 6 bandes par an. Sachant qu'une bande compte environ 1 000 poulets, et que le prix est de 15 roupies alors l'éleveur touchera 15 000 Roupies par bandes soit 90 000 Roupies pour les 6 bandes ce qui revient à 1 065 €.



Ensuite nous avons visité un autre élevage de poulet de chair proche du premier. Cet élevage était un élevage de poulet de race locale. Ces poulets sont plus adaptés au climat et sont moins sensibles aux risques de maladies présents dans les autres élevages de poulets. Il faut 4 mois pour produire un poulet de 1,25 kg. Leur prix de ventes est de 175 roupie/kg ce qui équivaut à 2€/kg. La densité de poulet par mètre carré était moins élevée.
Les poulets de race locale mettent le double de temps pour être vendus mais sont moins sensibles aux maladies et sont vendus plus cher au kilo. Les poulets de race locale semblaient en meilleure forme alors que l'on pouvait constater du picage chez les autres.




Aymeric Charles et Laura

jeudi 13 février 2014

8/02 Tea Factory

Vendredi 8 février, aprés de nombreuses heures de trajet sur des routes sinueuses, nous sommes arrivés dans une petite ville au beau milieu des montagnes : MUNNAR.
Cette ville est notamment connue pour les plantaions de théïers ainsi que ses usines de transformation des feuilles de thé, une de ces usines a été l'objet de notre visite ce samedi 9 fevrier.

Il s'agit d'une petite usine fondée en 1877, le théïer est un arbre qui peu atteindre une taille de 6 m de haut, ici il est taillé à 1 métre environ pour faciliter la récolte.
L'arbre est planté, puis à l'âge de 5 ans la premiere taille a lieu, ensuite, il est entretenu pendant environ 3 à 5 ans, donc c'est seulement apres une dixaine d'années que la premiére récolte peut avoir lieu.
La récolte se fait manuellement, les deux dernières feuilles ainsi que le bourgeon sont prélévés pour le thé noir, seuls les bourgeons sont prélevés pour le thé blanc, le thé vert contiendra le bourgeon et une feuille.

Quelle que soit la catégorie, les premières étapes de transformation sont similaires :
    • la première est le séchage, jusqu'à 25 % d'humidité
    • la deuxième est l'étape du CTC (Crush Tear Curl) c'est à dire que les feuilles sont écrasées, déchirées et tortillées
    le thé vert et blanc sont ensuite séchés entiérement puis tamisés, ils sont alors prêts pour la consommation.
    Pour le thé noir, les morceaux de feuilles passent par une phase d'oxydation de 40 minutes, la couleur devient alors marron. puis c'est le séchage
le thé dipose de différentes notations selon la qualité (FOP, OP, RD ...) simplement lié au calibrage.


Le thé en Inde, héritage des Britanniques, est une boisson très consommée notamment pour ses vertus, telles que le ralentissement du viellisement, élimmination des toxines, baisse du cholestérol, réduction des dévellopements cancereux ou encore la réparation des tissus.

Nous avons été heureux de pouvoir découvrir toutes les techniques de transformation qui se cachent dérrière la boisson que nous consommons chaque jour.
Benjamin.

9/02 Fish Farming

LA PISCICULTURE VERSION INDIENNE


Après être descendus des montagnes de l'état du Kerala, notre expédition s'arrêta non loin de la mer Arabique dans un petit village. Pour le conducteur, la destination a été difficile à atteindre à cause des innombrables petites rues. Arrivés sur les lieux, notre groupe fut accueilli par le propriétaire. Après avoir fait environ 500 mètres et traversé un pont de fortune qui a angoissé certaines personnes, nous voilà arrivés près d'un étang. Une personne nous attendait pou : expliquer le fonctionnement de son exploitation.


Une rotation est effectuée entre la pisciculture et le riz. La parcelle est divisée en trois. deux bassins (petites surfaces) et une partie principale qui servira alternativement à la culture du riz et à l'élevage des poissons. Les différents bassins sont alimentés en eau par un petit canal qui sert aussi à l'irrigation du riz. En effet, pendant les quelques mois de culture du riz, les petits poissons (finger langs) seront élevés en nurserie puis après la récolte la parcelle sera complètement immergée et permettra la croissance des poissons.
. Cette rotation est très avantageuse pour les deux productions. en effet, pour le riz :
  • elle comble une partie des besoins des plantes grâce aux déjections des poissons, limitation des adventices et la terre se travaille plus facilement.
    Ensuite, pour les poissons, ce qui reste du riz (les chaumes) sert de nourriture. Par ailleurs, en complément, l'éleveur leur apporte des fientes de poules. Et oui, certes cette méthode peut paraître grotesque dans un pays comme le nôtre, mais elle permet d'avoir une bonne croissance d'autant que la densité de poissons n'est pas très élevée (4500/ha).


Quand les poissons sont arrivés à une taille correcte, ils sont capturés grâce a une méthode simple et efficace. Le bassin est vidé et un piège munie d'un filet est installé a la sortie du bassin pour récupérer les poissons. Après toute ces étapes, la parcelle peut être ré-implantée en riz.
    On peut dire que cette exploitation est un exemple au niveau écologique et économique.
    L'agriculteur a baptisé cette méthode de son propre nom : Joy Ittoop model.

    Edouard.

10/02 Malampusha Dam

Lundi 10 février, direction la ville de Coimbatore. A quelques kilomètres de cette ville, nous avons visité un barrage, le « Malampuzha Dam ». Ce barrage a été construit à partir de 1949 et inauguré en 1955, donc peu après la grande famine et l'indépendance.

Ce projet à été mis en place pour créer un lac artificiel dans les Ghats. Ce lac est alimenté par une rivière, et par l'eau de pluie sur une durée de 2 mois (novembre-décembre lors de la mousson). La profondeur maximum est de 155m, soit une capacité de 228 000 000 m3. Actuellement, il est profond de 106m. Il est un atout considérable puisque l'eau est uniquement utilisée pour l'irrigation des cultures, ce qui permet aux agriculteurs d'avoir accès facilement et gratuitement à l'eau.

De plus, ce barrage est utilisé comme un atout touristique, les abords ont été aménagés en lieu de promenade : de nombreux touristes mais aussi des Indiens viennent s'y promener. Ils peuvent profiter des jardins à la Française, prendre un mini-télésiège ce qui permet d'avoir une vue aérienne sur le paysage. Malgré la chaleur, ce lieu est rafraîchissant et agréable.
Ce barrage est véritablement un atout économique et un atout touristique avant tout au service de l'agriculture indienne.
Laetitia.

5/02 IICPT

Aujourd’hui, après la visite du temple de Tanjor, nous avons visité l’IICPT (Indian Institute of Crop Processing Technology)
Cet institut dépend du gouvernement indien (via le Ministery of Food Processing Industries) et a subi plusieurs mutations au cours du temps. Il s’agissait à l’origine d’un moulin à riz, qui fut transformé en 1984 en un institut de recherche ayant pour objectifs d’étudier et d’améliorer le processus de transformation du riz. En effet, la culture de cette plante dans le Tamil Nadu produisait une céréale trop humide qui ne pouvait être utilisée qu’en semence. Par la suite l’établissement a de nouveau évolué pour s’étendre à tous les types de culture. Les ingénieurs de l’institut ont à leur disposition du matériel de technologie de pointe (spectromètre de masse, HPLC, …)  utilisé dans le but d’analyser de manière complète la composition différentes denrées en vue d’en évaluer la qualité sanitaire et nutritionnelle.

L’institut dispose également d’un pole de formation axé sur les métiers de l’agro-alimentaire.

Nous trouvons également un laboratoire de microbiologie, dans lequel des scientifiques travaillent à détecter les divers agents pathogènes potentiellement présents dans les aliments. La recherche s’attache également à trouver des procédés permettant d’améliorer l’apparence et l’odeur des aliments. Enfin le centre s’occupe également de développer des produits artisanaux de façon industrielle comme une boisson à la sève de coco (toddy)
Guillaume

mercredi 12 février 2014

Visite d'un champ d'hévéa

Le dimanche 10 février, les profs indiens décident de s'arrêter voir un champ d'hévéas ( arbre qui produit le latex ). L'exploitant de cette parcelle nous a rejoints pour nous faire découvrir cette production.

 L'arbre s'appelle l'hévéa, il pousse dans les climats chauds, en moyenne on retrouve 500 hévéas par ha ( un agriculteur peut possèdé en moyenne de 1 a 10 ha ). Après sa plantation, l'arbre est en capacité de produire du latex au bout de 7 ans. Passé ce délai, la production dure 10 ans. Après 17 ans de pousse, l'arbre est coupé et utilise pour faire du contre plaqué. Les dommages causés par les insectes et les champignons sont quasi inexistants. Ceci grâce au climat chaud.
       
Pour récupérer le latex, l'écorce de l'arbre est rabotée jusqu'à 150 fois par an sur 5 centimètres carré. A l'aire libre, le latex coule le long de l'écorce et est canalisé dans une rigole puis acheminé dans un réceptacle.
Un arbre produit 0,5l de latex par jour en moyenne. Plus l'arbre est gros, plus il est productif.

Il y a deux possibilités de débouchés  pour vendre le  latex aux industries :
- le premier est solidifié et mélangé avec de l'acide puis transformé en plaques de 2,5 cm d'épaisseur en moyenne
- le second est mélangé avec de l'ammoniac qui le rend liquide. Il est commercialisé sous cette forme.

Avec un baril de 200 l, la production est de 60 kg de feuille. Pour ce qui est du prix, le kilos est vendu de 150 à 250 ruppies selon la qualité ( 1€ =84,5 ruppies )

Une fois le latex vendu, les industriels le transforme en diverse objet comme des gants, ou encore des préservatifs. Néanmoins, la majorité du latex est destinée à la fabrication de caoutchouc pour les pneus.

Ce fût pour nous l'occasion de découvrir cette filière atypique dans un cadre de végétation apaisant.

Nous espérons que cette article vous a plu et a retenu votre attention. En vous remerciant de votre lecture,

Nicolas THIERRY et Tom DENOUT-HALLÉ



dimanche 9 février 2014

9/02 départ pour Alleppey

Il est 6h30, toute la troupe est prête direction Alleppey, visite d'une pisciculture et ... une surprise en fin de journée.

Dimanche 2 février 2014 : Pondicherry

Dés 9h30, la troupe constituée de Clémentine, Anais, Édouard, Maude et Madame De Simone, débuta son aventure. Au départ tout était programmé. La veille,nous avions décidé de suivre un circuit ., circuit que nous n' avons pu respecter : pas de noms aux rues, une carte incomplète, l'itinéraire a donc été quelque peu bouleversé.Nous devions d'abord visiter la cathédrale , impossible de la trouver avec les informations fournies. Cependant, ne perdant pas le nord, nous avons continué de marcher et nous avons trouvé un temple. Puis, nous sommes entrés dans une bijouterie où l'or était moins cher que l'argent. En sortant, nous nous sommes laissé emporter par l'odeur des épices jusqu'au marché qui nous a étonnés par sa structure et par sa diversification. Il était caché derrière 4 murs et une bâche bleue, des centaines de commerçants empilés proposaient légumes, fruits, poissons, épices, babioles...Il nous était presque impossible d'avancer tellement la foule était dense et l'espace de circulation étroit. Mais ce marché était vraiment intéressant, riche en couleurs, et en odeurs..Lorsque nous sommes sortis, nous sommes tombés par hasard sur la cathédrale tant recherchée.
 

Après le repas nous avons relancé l'aventure avec en plus Laura, Laetitia et Estelle vers le quartier musulman et ses mosquées. Ce quartier est différent des autres et ses mosquées ont des façades magnifiques. Malheureusement, nous n'avons pas pu y accéder. Puis nous avons vu une église aussi colorée que les autres. Nous sommes entrés alors qu'un mariage s'y déroulait. Ensuite nous avons fait du shopping au grand désespoir d’Édouard. Après nous voulions voir un éléphant sacré posté devant un temple : en vain, ce dernier était en repos, c'était dimanche !
L'église « notre Dame des Anges » a attiré notre attention;devant celle ci,nous avons été invités par 2 demoiselles d'honneur à assister au mariage d'un homme franco-belge et d'une femme indienne.

Fort heureusement un invité américain nous a expliqué le déroulement de la cérémonie en Français. Grâce à lui, nous avons rencontré de jeunes danseuses tamules et compris une partie de la spiritualité indienne.En effet, la période était propice aux mariages c'est à dire juste après la pleine lune, et la date avait de l'importance aussi ( 02-02).Ceci est la raison pour laquelle 5000 mariages ont eu lieu ce même jour à Pondicherry. Nous avons ensuite fait une pause bien méritée dans une pâtisserie. Les Indiens préfèrent sortir en fin de journée quand la température baisse.

Fin de la journée , beaucoup de kilomètres parcourus et de souvenirs à jamais gravés dans nos mémoires...


Anais, Clémentine et Maude

samedi 8 février 2014

Visite d'une exploitation bananière

 Visite d'une exploitation bananière


Le jeudi 6 février près de Cumbum nous avons visité une exploitation bananière. Nous avons pu au fil de la visite découvrir la culture de banane. Elle requiert un type de sol particulier. Celui que nous avons pu découvrir est bien approprié pour cela. C'est un sol rouge de type argileux (20 à 25% d'argile), très fertile. De plus,il a la caractéristique d'avoir une bonne proportion entre air et eau limitant ainsi l'évaporation. Il existe deux types de méthodes de plantation. La première est de récupérer les rejets de bananier pour en faire des boutures. La seconde est plus complexe, c'est la micropropagation. Elle consiste au développement cellulaire permettant de faire des clones grâce à une cellule mère de qualité.
Cette technique a plusieurs avantages qui sont:
-diminuer les propagations des maladies
-permettre d'avoir des plantes homogènes
Une bananeraie dure un an. Il faut entre 10 et 12 mois avant qu'il y ait des bananes. Avec l'autre méthode la tronc du bananier est coupé et les rejets prennent le dessus l'année suivante.Un bananier produit un seule fleur qui va donner un régime de bananes: Cette plante est valorisée au maximum:le tronc et la fleur sont consommés comme légume.La banane est quant à elle est consommée comme un fruit,les feuilles servent d'assiettes pour les Indiens, pas besoin de faire la vaisselle.
Les apports de compost sont réalisés grâce au fumier produit par des vaches laitières. Ce compost est apporté 2 à 3 fois par an sur les parcelles. Ils apportent 0,5 % d'azote, 0,2 % de phosphore et 0,4 % de potasium et beaucoup d'oligoéléments: le compost permet de limiter les adventices sur les parcelles contrairement au fumier et d'éliminer certaines bactéries.
Ils ont recours à la ferti irrigation: méthode qui apporte les éléments suivant: N,P,K ainsi que des minéraux. Les agriculteurs mettent par arbre 100 à120 grammes d'azote ,50 à 70 grammes de phosphore ainsi que 100 à 150 grammes de potassium.
L’irrigation est réalisée deux à trois fois par semaine selon le degré d'ensoleillement grâce à la méthode du goutte à goutte.
La fleur de banane libère un pétale par jour au dessous duquel va se développer au final un régime de bananes (soit environ de 32 kilos.)
L'exploitant qui nous a reçus possède 2 100 plants de bananes permettant une production de 22 tonnes qu'il vend 16 roupies le kilo. Ceci lui apporte une valeur ajoutée de 352 000 roupies. Les charges de production s’élèvent à 70 000 roupies. Les rejets sont vendus sur une durée de 3 mois, soit 15000 roupies. Les fleurs quant à elles sont vendues 1 roupies alors qu'au marché elles sont vendues 10 roupies. Certains exploitants ont recours à la culture mixte, associant d'autres cultures à celle de la banane. Nous avons vu une association de bananes et de tomates. Il faut 1 an pour produire des bananes et seulement 4 mois pour les tomates. Ceci permet de limiter l'évaporation et la pression des adventices.
Le bananier est un symbole fort pour l'Inde: Il est comparé à une famille car il ne meurt jamais grâce à ses rejets. Ainsi les familles se doivent d'avoir une vie comme celle du bananier:
il est donc un symbole de fertilité.
Baptiste, Angélique, Maxime



01/02/2014 Mahabalipuram, un chef d’œuvre architectural

Après un petit déjeuné bien garni, tout le monde saute dans le bus. Direction le site de Mahabalipuram pour cette journée d'excursion. 2H de bus plus tard nous arrivons. Nous n'avions pas encore mis un pied dehors alors que les vendeurs à la sauvette répondaient déjà présent. Ils nous proposaient des livrets sur la ville, et ses chefs d’œuvres de pierres taillées, mais également des éléphants, postions du kamasutra, ou encore divers objets sculptés dans du marbre. Certains cédèrent à la tentation, quand d'autres étaient émerveillés par la splendeur du lieu qui s'offrait à eux. En effet, « la Pénitance d'Arjuna », en plus d'être un des plus grands bas reliefs du monde, est également une merveille de l'art Hindou.
Poursuivant notre progression, nous atteignîmes la grotte de « Varaha », ou nous avons pris quelques instants pour prendre une photo de groupe.
Par la suite nous nous sommes dirigés vers le Royala Gopuram, un édifice finement ciselé mais non achevé.
Reprenant notre route nous nous dirigeons maintenant vers « Krishna Butter Ball », une boule de beurre, qui d'après la légende aurait négligemment été laissé tombé par Krishna encore bébé. Ce gigantesque rocher semble tenir selon un équilibre défiant les lois de la gravités.
Nous redescendons ensuite vers la ville, ou nous arpentons les rues colorées de nombreux commerces de tailleurs de pierre, ainsi que de vêtements et autres objets divers et variés.
Passées ces quelques rues, nous voilà maintenant sur la plage, mais la vrai cette fois ci. Bien que les cocotiers ne soient toujours pas au rendez-vous, le sable fin quand à lui répond présent.
De là nous apercevons « Shore Temple ». Nous traversons donc cette étendue de sable en direction du monument. Arrivés à l'entrée du temple, nous nous acquittons des 250 roupies nous donnant accès au jardin, ainsi qu'au temple. Résistant au vent depuis le XIII ème siècle, cela fait de lui un des plus vieux temples toujours visible de l'inde du sud.
Après un court pique nique, il est temps de repartir vers un autre temple le « Five Rathas ». En réalité, il s'agit de 5 temples, sculptés dans un seul bloc de pierre. Ce sont les Anglais, qui ont mis à jour ces vestiges il y a 200 ans. Ils représentent des chars de processions, rendant hommage aux 5 divinités Indiennes majeures.
Nous quittons le lieu à 15h pour regagner Pondichery. Une fois en ville, il nous reste quelques heures de temps libres dans les rues. Après le repas, et le traditionnel petit point de fin de journée, tous les membres du groupe retournent dans leurs chambres, et se laissent aller à leurs rêves.

Laurine, Marion, Benjamin G, Clement L, Adrien

vendredi 7 février 2014

Live from Kerala

Enfin une connexion, malheureusement l'ordi est déchargé pas moyen de publier les articles pour l'instant ( le chargeur est resté dans le bus !). En attendant mieux et dans le désordre : enthousiasme, temples, bananeraie, verger, culture de légumes, coco, rencontres avec des agriculteurs, épices bio, paysages superbes and so much more ...

dimanche 2 février 2014

Premiere immersion en Inde pour les ACSE 1 de 2014

Le jour n'est pas encore levé, il est 5h15 du matin nous sommes tous là, prêt à partir. Le bus démarre, ça y est, c'est le grand départ. 3H de route, et première escale, Roissy Charles De Gaulle. Enregistrement des bagages, billets en poche, après une courte attente, nous montons dans l'avion. Il est midi lorsque nous quittons le sol français, il s'agit du premier baptême de l'air pour certains. Environ 6h de vol plus tard, nous amorçons la descente vers Abu Dhabi, les roues touchent le sol, et l'avion ralentit. Nous avons peu de temps pour changer d'avion, et nous voila repartis pour 4h de vol en direction de Chennai. Il est quatre heures du matin lorsque nous foulons enfin le sol indien mais notre périple n'est pas encore terminé, en effet il nous faut encore prendre le bus pour nous rendre à l'hôtel de Pondichery. En arrivant sur le parking, quelle ne fut pas notre surprise, un minibus nous attendait... pour 28 personnes et autant de valises !
Malgré tout en se serrant un peu et en gardant nos bonnes habitudes d'élèves. Nous nous sommes immédiatement emparés des places assises, ne laissant autre choix à nos accompagnateurs, que de s'installer dans l'allée centrale assis sur des valises, packs d'eau, et autres sodas. Le bus quitte l'aéroport, nous voilà dans le flux routier de la circulation indienne et il s'agit là d'un véritable premier dépaysement. En dépit de tout ce que nous avions pu voir ou entendre, le vivre est réellement différent. La conduite indienne consiste bien plus à éviter les autres véhicules que de suivre le code de la route, oubliez les feux, les clignotants et autres rites de la conduite européenne. Ici, il n'est pas rare de voir trois véhicules de front sur deux voies, des dépassements dans les virages et les clignotants laissent place à une incessante cacophonie de klaxon. Les véhicules nous frôlent de tout côtés, les changements de voies sont incessants, nous nous attendons à l'impact à chaque instant, mais aucun accident n'est finalement à déplorer. C'est ainsi que 3h plus tard, et sans une égratignure, nous arrivons à « L’Héritage Pondichérien », notre hôtel à Pondichery. Il est 8h30 heure locale, les valises sont déchargées et les chambres assignées. Fatigués par le voyage, la plupart d'entre nous vont se reposer et seul quelques courageux partent en exploration de ce nouveau territoire. À midi nous prenons notre premier repas indien. Nous soupçonnons nos hôtes de ménager nos estomacs. En effet la nourriture ne semble pas tant épicée, cependant le repas n'en reste pas moins succulent. Une fois rassasiés, il est temps pour nous de faire notre première excursion en ville. La densité de la circulation désordonné à de quoi surprendre, mais nous nous sommes rapidement adaptés à évoluer dans cet environnement. Après avoir trouvé l'endroit où effectuer le change de nos euros en roupies, nous repartons avec des liasses énormes de billets à l'effigie de Ghandhi. Nous sommes allés voir la mer et espérions voir une plage de sable fin jonchée de cocotiers. Malheureusement pour nous, seule une digue de rochers noirs s'offrait à nos yeux.
Qu'importe, le plaisir de contempler la vaste étendue bleue suffit à notre bonheur. Une fois les vendeurs à la sauvette évités, nous repartons à l'aventure, dans le dédale néanmoins rectiligne des rues de Pondichery.
Les commerces y sont réellement atypiques et fortement fournis, ainsi il n'est pas rare de voir un fast-food / horloger, ou encore un magasin de téléphonie mobiles / sodas. Comment ne pas être étonnés ? Faisant alors abstraction de notre conditionnement européen, nous reprîmes notre route en s'efforçant de s’imprégner de la culture indienne. Nous nous rendîmes vite compte que nous étions l’attraction en ville, en effet difficile de passer inaperçu lorsque l'on est un groupe de 28 Français. Mais parallèlement le contact avec les Indiens fut plutôt facile, toujours souriants et près à discuter, voire à nous aider. Courte halte dans un parc, il est temps pour nous de rentrer. Repos pour certain, jeu de cartes et de société pour d'autres. Il est maintenant 8h, l'heure de prendre notre deuxième repas, tout aussi bon que le précédent. Il fut ensuite temps de nous retrouver autour d'un verre, afin de faire le point de cette journée riche en nouveautés. Il fait maintenant bien noir, tout le monde regagne sa chambre, et ainsi Morphée clot cette journée.

 Laurine, Marion, Benjamin G, Clement L, Adrien

jeudi 28 février 2013

5 jours a l'orphelinat

Depuis lundi dernier, ce sont nous qui somme a l'orphelinat (Eve, Marine, Margaux et Morgane).
Durant le premier jour, nous avons pu decouvrir les enfants ainsi que leurs infrastructures, que ce soit du cote fille ou garcon.
Nous avons ete etonnes de l'accueil que les enfants nous ont reserves. Que de serrage de main et de jeux !
Ensuite nous sommes reste exclusivement  du cote des garcons, avec pour programme, chaque matin 2 heures de cours. Apres avoir voulu enseigner le dessin et s'etre rendu compte qu'ils etaient beaucoup plus fort que nous, on a essaye de leurs faire chanter "petit papa Noel". Bonjour la difficulte ! Un autre jour on a voulu leurs apprendre a parler quelques mots francais, la salle de cours n'a jamais ete aussi calme (oui d'habitude c'est chahut et cie) !
En contre partie, l'apres midi nous avions le droit d'apprendre un jeu de balle, de cailloux et de guerre ! ENJOY ! Jeu a expliquer et faire pratiquer aux petits francais ...
Le dernier jours s'est conclu sur un poncage d'armoire et l'installation de l'anniversaire de Alice gerante de l'orphelinat. Nous avons ete cordialement invite le soir meme a celui ci et avons pu ainsi profiter des spectacles organises et du gateau, tout ceci dans la convivialite !

Marine, Morgane, Margaux.

dimanche 24 février 2013

debut des stages pondicherriens

Nous revoila a Pondicherry, commencant une nouvelle aventure.
Arrives dans une grosse guest house, les groupes se divisent. D'un cote, le 1er groupe pour l'orphelinat et de l'autre, le reste de la classe.
Pour l'orphelinat, c'est atelier peinture dont s'occupe Lucile, Jean-Francois, Romain, Emilien et Thibaut.
Pour les stages en entreprise, cela a debute par une entreprise agro-alimentaire de riz (ecossage --> empacktage et production de farine et distillation en huile) pendant 2 jours. Ensuite nous sommes passes a la canne a sucre ou nous avons ete particulierement bien accueillit et encadres par le staff de l'usine. Nous avons donc decouvert comment passer d'une canne a sucre a du sucre cristallise en visitant la totalite de l'usine et en aillant des cours theoriques! Pour clore la semaine nous sommes alles dans une usine de stockage de ble en construction et de fabrication d'epices et farine.

Tout cela s'effectue le matin. L'apres midi, par petit groupe de 3 ou 4 personnes, nous alternons des visites en rapport avec un theme precis. Il y a donc la place des femmes en Inde aui a ete aborde par Marine, Margaux, Morgane et Eve. La religion par Benjamin, Kevin et Valentin. Ces visites sont generalement appreciees et pleines de surprises. les autres themes seront abordes la semaine prochaine.

La fin de la journee se conclut chaque soir par une heure d'anglais. Hier nous avons pu aller faire les derniers achats souvenirs en meme temps.

Une semaine, qui malgre l'eloignement du centre ville, a plutot ete bonne pour tout le monde.

Eve et Antoine

mardi 19 février 2013

la fin du tour dans le Tamil Nadu

C'est apres 10 jours passes a travers  les routes indiennes sans pouvoir poster un message sur ce blog faute de temps ou de moyen que nous sommes arrive a Karaikal  le lundi 11 Fevrier  pour la deuxieme partie du voyage en Inde
Cette partie se realise en effet sans les professeurs francais, et conserne des petites visites d'exploitation locale dans des rizieres principalement.  
Cette periode de stage de 5 jours fut rapide et permis d'offir des sensations nouvelle au groupe. En effet, nous avons pu decouvrir les travaux manuels (moisson, desherbage, etc)et pour des raison plutot economique nous avons loge dans une maison familliale proche des visites organisees, avec pour nous, deux surprises,une ceremonie d'accueil et des repas digne de rois chaque jours.

Apres tout cet enrichissement nous avons pu profiter d'un petit week end a Karaikal avec farniente et plage.


Valentin ,Kevin ,Margaux

samedi 2 février 2013

Debut de l'excursion

Apres une breve decouverte de Pondichery, nous partons enfin pour l'aventure ... Et jusqu'a present c'est le cas de le dire. Bonnes et mauvaises surprises nous attendent encore apres seulement 2 jours sur 10.

1ere etape: Karaikal et son fameux institut agricole le "PAJANCOA". Un trajet de 4h qui fut long et eprouvant mais au bout nous avions le droit a un cadre exceptionnel. C'etait sans cacher les petits habitants qui nous ont accueillis les bras ouverts ... Rats, grenouilles, blattes et on en passe cotoyaient nos chambres et douches. Heureusement, on a eu le droit a un accueil digne de roi, un spectacle inoui et des rencontres fabuleuses avec les etudiants. Nous avons hate de les revoir.
2eme etape: Journee bus ... Reveil a 5h, et 5h passees dans le car nous arrivons au plus grand temple Hindou "Tanjor". Une pure merveille !!! Acceuil par un elephant et approche de cette religion. Re-bus, direction le centre d'insemination artificielle. Arretes a la porte, ils n'accueillent plus de groupe ... Changement on repart vers une ferme qui s'est averee etre une ecole veterinaire. Re-re-bus vers le temple de Trichy tout aussi beau mais haut. 500 marches afin de l'atteindre, c'etait tout compte fait de la rigolade !!! Re-re-re-bus pour aller a l'hotel; il etait temps !!! Les yeux se fermaient tous seuls et le lit equipe d'un matelas de 8cm sur une planche, nous semblait des plus confortable.

En revenant, nous serons des Mac-Giver !!!

Eve, Marine et Tatiana

mardi 29 janvier 2013

Arrivee et accueil pondicherrien.

Nous sommes bien arrive en Inde depuis lundi matin a 7h (autant vous dire que la nuit fut courte).
L'Inde est un bric a brac de petites echoppes, de gens, d'animaux et de vegetation.
il fait une chaleur et une moiteur qui change considerablement de l'hiver francais.
Apres avoir visiter Pondicherry, ville tres bruyante mais tres accueillante, nous somme partis a Mahaballipuram.

Nous avons visites des anciens temples ( 6 et 7eme siecle).
Seul point negatif, les vendeurs de rues. Ils arrivent, nous cramponent et ne nous lachent plus.
Cependant certains sauvent l'honneur et se revelent tres simpathique.\
Quelque uns d'entre nous y ont laisses des plumes...
D'autres ayant trouves leur bonheur.

Dans l'ensemble, l'acclimatation est plutot rude mais globalement, le soleil rechauffe nos coeurs (amis de la poesie bonsoir (+ 5h chez nous))

PS: Vive les rickshaws et les klaxons qui animent nos oreilles!

Tatiana, Eve et Antoine

mardi 3 avril 2012

Laiterie "Ponlait"

L'Inde est le premier producteur de lait au monde. Nous sommes donc ravi d'avoir eu la chance d'être en stage dans une laiterie indienne : Ponlait.
L'entreprise Ponlait est une usine qui collecte, conditionne et transforme le lait.      
Cette usine est la plus grosse des alentours de Pondichery. Elle récupère de 75 000 à 100 000 litres de lait par jour. Ponlait récupère le lait de 98 villages, ce qui représente 10 000 éleveurs. Chaque village organise sa collecte de lait et le livre à Ponlait tous les jours.
Ce lait est stocké puis pasteurisé. Le lait est conditionné sous forme de sachets et ensuite stocké en chambre froide.
L'usine fabrique aussi plusieurs autres produits à partir du lait : beurre, glaces, huile (cow ghee), boisson énergetique, et un produit résultant du mélange de lait et de sucre, ...
Nous avons pu visiter les processus de transformation de l'ensemble de ces produits.
Les eaux usées de l'usine sont stockées puis traitées biologiquement et ensuite réutilisées pour l'irrigation de parcelles appartenant à l'usine. Les cultures sur ces parcelles  sont des cultures fourragères et la récolte sert à l'alimentation des animaux des exploitations des alentours.

Ce stage fut très intéressant et très enrichissant pour nous.

(Pour cause de bug en salle info, photo à venir)

LORNE Jérémy  HILPIPRE Loïs  MIGNOT Morgane  TERREY Félicien  THIERIOT Adrien

Le stage à la sucrerie

Lors de notre stage en Inde nous avons pu être dans une sucrerie qui se situ non loin de Pondichéry.Tout d'abord nous tenons à remercier les personnes qui on su être patient et compréhensif contenu de notre niveau en anglais qui n'est pas irréprochable. Durant la réalisation de ce stage nous avons donc pu apprendre comment la culture de la canne à sucre se réalise et tout les processus de transformation qui suive cette production pour au final aboutir au sucre blanc de canne à sucre.

Les souvenirs de l'orphelinat

Je me joints à mes camarades : Agathe, Clémence, Grégoire et Victor pour rédiger ce dernier commentaire à propos du stage que nous avons effectué ensemble à l'orphelinat de Pondichery. Nous en gardons de très bons souvenirs et avons prit beaucoup de plaisir à partager ces quelques jours avec les enfants. Nous aurions préféré refaire des peintures pour décorer les salles ainsi que les internats et créer une bonne ambiance pour ses jeunes mais nous avons du rénover un salle touchée par le cyclone. Cependant nous sommes très content de notre travail et nous avons vraiment bien rigolé. Nous espérons que les élèves de l'année prochaine se rendront à l'orphelinat pour savoir si la salle a pu être finit, décorée et mise en service pour les enfants.

mardi 13 mars 2012

La sucrerie SUGAR MILL

Nous avons réalisé une partie de notre stage dans une sucrerie se trouvant à environ 15km de notre hôtel, celui -ci se trouvant à  3km du centre de Pondichéry, nous avons passé 3 jours dans cette entreprise et le second groupe à lui passé 2 jours dans celle-ci. Pendant ces 3 jours nous avons commencé découvrir l'entreprise et sa place qui est prépondérante dans le milieu de la canne à sucre dans les alentours de Pondichéry. Nous avons appris comment la culture de la canne à sucre est réalisée, pour cela nous somme allé visiter diverses plantations qui n'avaient pas le même mode de culture, n'y de plantation, ce qui fut très instructif. Suite à cela nous avons assisté à la récolte d'une plantation puis au transport et à l'arrivé des récoltes dans l'entreprise.

L'orphelinat

Deux groupes ont effectué un stage à l'orphelinat : Marie-Eléonore, Agathe, Clémence, Lisa, Barbara, Morgane, Adrien, Grégoire, Victor et Vincent. Notre but etait de restaurer une salle et de partager des moments de jeux avec les enfants.
L'orphelinat des garçons a été cree il y a 21 ans par Alice dans l'optique de venir en aide aux enfants de Pondichery.
L'orphelinat des filles a été construit il y a environ 3 ans.

jeudi 8 mars 2012

Retour en France

Nous voici a la veille du depart pour la France.
Globalement, les stages en entreprise a Pondichery ont ete tres apprecier, ainsi que le travail a l orphelinat. nous venons de passer 2 jours au Panjacoa, l universitee de Karaikal, ou nous y avons presente ce que nous avons appris durant les stages devant les professeurs indiens. Cette presentation s est faite sous forme de ceremonie, ou le doyen est venu nous dire un mot d adieu, de meme que les professeurs indiens.
Nous aimerions remercier tous ceux qui nous ont aide dans ce projet, en particulier les indiens: les professeurs qui ont organises les stages, presente les conferences et tout fait pour ameliorer notre confort, les entreprises qui nous ont donne le meilleur accueil possible, les etudiants qui nous ont rendu la vie plus agreable, la professeur d anglais qui nous a donnee son temps et presentee a des gens formidables qui nous ont aide a realiser les differents topics que nous avions a faire, ainsi que Navallar school qui est reste ouverte pour nous de 6h a 7h le soir afin que nous beneficions d une salle de classe.
On est tous tres content de rentrer, la journee de demain paraitra longue,  avec 9 h de route en car, 10h d avion et les heures de bus et train jusqu a saint Pouange.
5 semaines, c est long.

jeudi 1 mars 2012

Des nouvelles de l'orphelinat

Le premier groupe est actuellement a l'orphelinat depuis mardi matin. Nous avons rencontre les plus jeunes qui sont tres gentils et surtout tres heureux de pouvoir passer du temps a jouer avec nous. On nous a confie une salle a restaurer. L'orphelinat ayant ete touche par le cyclone Tan, nous avons commencer les travaux hier par un poncage actif et efficace. Maintenant nous en sommes a la peinture.

Tous les enfants expriment une joie de vivre qui nous fait chaud au coeur et c'est un enorme plaisir de partager ces 5 jours avec eux.
Nous posterons des photos des que posible.