Le jour n'est pas encore levé, il est 5h15 du matin nous sommes tous là, prêt à partir. Le bus démarre, ça y est, c'est le grand départ. 3H de route, et première escale, Roissy Charles De Gaulle. Enregistrement des bagages, billets en poche, après une courte attente, nous montons dans l'avion. Il est midi lorsque nous quittons le sol français, il s'agit du premier baptême de l'air pour certains. Environ 6h de vol plus tard, nous amorçons la descente vers Abu Dhabi, les roues touchent le sol, et l'avion ralentit. Nous avons peu de temps pour changer d'avion, et nous voila repartis pour 4h de vol en direction de Chennai. Il est quatre heures du matin lorsque nous foulons enfin le sol indien mais notre périple n'est pas encore terminé, en effet il nous faut encore prendre le bus pour nous rendre à l'hôtel de Pondichery. En arrivant sur le parking, quelle ne fut pas notre surprise, un minibus nous attendait... pour 28 personnes et autant de valises !
Malgré tout en se serrant un peu et en gardant nos bonnes habitudes d'élèves. Nous nous sommes immédiatement emparés des places assises, ne laissant autre choix à nos accompagnateurs, que de s'installer dans l'allée centrale assis sur des valises, packs d'eau, et autres sodas. Le bus quitte l'aéroport, nous voilà dans le flux routier de la circulation indienne et il s'agit là d'un véritable premier dépaysement. En dépit de tout ce que nous avions pu voir ou entendre, le vivre est réellement différent. La conduite indienne consiste bien plus à éviter les autres véhicules que de suivre le code de la route, oubliez les feux, les clignotants et autres rites de la conduite européenne. Ici, il n'est pas rare de voir trois véhicules de front sur deux voies, des dépassements dans les virages et les clignotants laissent place à une incessante cacophonie de klaxon. Les véhicules nous frôlent de tout côtés, les changements de voies sont incessants, nous nous attendons à l'impact à chaque instant, mais aucun accident n'est finalement à déplorer. C'est ainsi que 3h plus tard, et sans une égratignure, nous arrivons à « L’Héritage Pondichérien », notre hôtel à Pondichery. Il est 8h30 heure locale, les valises sont déchargées et les chambres assignées. Fatigués par le voyage, la plupart d'entre nous vont se reposer et seul quelques courageux partent en exploration de ce nouveau territoire. À midi nous prenons notre premier repas indien. Nous soupçonnons nos hôtes de ménager nos estomacs. En effet la nourriture ne semble pas tant épicée, cependant le repas n'en reste pas moins succulent. Une fois rassasiés, il est temps pour nous de faire notre première excursion en ville. La densité de la circulation désordonné à de quoi surprendre, mais nous nous sommes rapidement adaptés à évoluer dans cet environnement. Après avoir trouvé l'endroit où effectuer le change de nos euros en roupies, nous repartons avec des liasses énormes de billets à l'effigie de Ghandhi. Nous sommes allés voir la mer et espérions voir une plage de sable fin jonchée de cocotiers. Malheureusement pour nous, seule une digue de rochers noirs s'offrait à nos yeux.
Qu'importe, le plaisir de contempler la vaste étendue bleue suffit à notre bonheur. Une fois les vendeurs à la sauvette évités, nous repartons à l'aventure, dans le dédale néanmoins rectiligne des rues de Pondichery.
Les commerces y sont réellement atypiques et fortement fournis, ainsi il n'est pas rare de voir un fast-food / horloger, ou encore un magasin de téléphonie mobiles / sodas. Comment ne pas être étonnés ? Faisant alors abstraction de notre conditionnement européen, nous reprîmes notre route en s'efforçant de s’imprégner de la culture indienne. Nous nous rendîmes vite compte que nous étions l’attraction en ville, en effet difficile de passer inaperçu lorsque l'on est un groupe de 28 Français. Mais parallèlement le contact avec les Indiens fut plutôt facile, toujours souriants et près à discuter, voire à nous aider. Courte halte dans un parc, il est temps pour nous de rentrer. Repos pour certain, jeu de cartes et de société pour d'autres. Il est maintenant 8h, l'heure de prendre notre deuxième repas, tout aussi bon que le précédent. Il fut ensuite temps de nous retrouver autour d'un verre, afin de faire le point de cette journée riche en nouveautés. Il fait maintenant bien noir, tout le monde regagne sa chambre, et ainsi Morphée clot cette journée.
Malgré tout en se serrant un peu et en gardant nos bonnes habitudes d'élèves. Nous nous sommes immédiatement emparés des places assises, ne laissant autre choix à nos accompagnateurs, que de s'installer dans l'allée centrale assis sur des valises, packs d'eau, et autres sodas. Le bus quitte l'aéroport, nous voilà dans le flux routier de la circulation indienne et il s'agit là d'un véritable premier dépaysement. En dépit de tout ce que nous avions pu voir ou entendre, le vivre est réellement différent. La conduite indienne consiste bien plus à éviter les autres véhicules que de suivre le code de la route, oubliez les feux, les clignotants et autres rites de la conduite européenne. Ici, il n'est pas rare de voir trois véhicules de front sur deux voies, des dépassements dans les virages et les clignotants laissent place à une incessante cacophonie de klaxon. Les véhicules nous frôlent de tout côtés, les changements de voies sont incessants, nous nous attendons à l'impact à chaque instant, mais aucun accident n'est finalement à déplorer. C'est ainsi que 3h plus tard, et sans une égratignure, nous arrivons à « L’Héritage Pondichérien », notre hôtel à Pondichery. Il est 8h30 heure locale, les valises sont déchargées et les chambres assignées. Fatigués par le voyage, la plupart d'entre nous vont se reposer et seul quelques courageux partent en exploration de ce nouveau territoire. À midi nous prenons notre premier repas indien. Nous soupçonnons nos hôtes de ménager nos estomacs. En effet la nourriture ne semble pas tant épicée, cependant le repas n'en reste pas moins succulent. Une fois rassasiés, il est temps pour nous de faire notre première excursion en ville. La densité de la circulation désordonné à de quoi surprendre, mais nous nous sommes rapidement adaptés à évoluer dans cet environnement. Après avoir trouvé l'endroit où effectuer le change de nos euros en roupies, nous repartons avec des liasses énormes de billets à l'effigie de Ghandhi. Nous sommes allés voir la mer et espérions voir une plage de sable fin jonchée de cocotiers. Malheureusement pour nous, seule une digue de rochers noirs s'offrait à nos yeux.
Qu'importe, le plaisir de contempler la vaste étendue bleue suffit à notre bonheur. Une fois les vendeurs à la sauvette évités, nous repartons à l'aventure, dans le dédale néanmoins rectiligne des rues de Pondichery.
Les commerces y sont réellement atypiques et fortement fournis, ainsi il n'est pas rare de voir un fast-food / horloger, ou encore un magasin de téléphonie mobiles / sodas. Comment ne pas être étonnés ? Faisant alors abstraction de notre conditionnement européen, nous reprîmes notre route en s'efforçant de s’imprégner de la culture indienne. Nous nous rendîmes vite compte que nous étions l’attraction en ville, en effet difficile de passer inaperçu lorsque l'on est un groupe de 28 Français. Mais parallèlement le contact avec les Indiens fut plutôt facile, toujours souriants et près à discuter, voire à nous aider. Courte halte dans un parc, il est temps pour nous de rentrer. Repos pour certain, jeu de cartes et de société pour d'autres. Il est maintenant 8h, l'heure de prendre notre deuxième repas, tout aussi bon que le précédent. Il fut ensuite temps de nous retrouver autour d'un verre, afin de faire le point de cette journée riche en nouveautés. Il fait maintenant bien noir, tout le monde regagne sa chambre, et ainsi Morphée clot cette journée.
Laurine, Marion, Benjamin G, Clement L, Adrien
Ah mais c'est souper Monsieur Clément
RépondreSupprimerOù sont les Doyens ????!!!!
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