Jeudi 16 février 2017
Départ 7h30 pour différentes visites autour du village. Nous avons pu observer la récolte à la main de la canne à sucre, et même y goûter.
Les salariés sont payés à la tâche ; en moyenne, ils coupent 1 tonne par jour par personne, ce qui leur fait un salaire de 550 roupies par jour. Les cannes à sucre sont envoyées dans un centre qui enlève les bourgeons qui seront replantés après avoir passé 20 jours sous serre. Nous avons eu l'occasion de visiter ce centre, où nous avons appris que la quantité de sucre dans les cannes dépend de la variété ; le taux varie entre 10 et 12,5%. Le centre produit également des fleurs jaunes.
Elles sont sous serre et récoltées en mars-avril, puis soit des tomates soit des concombres sont cultivés afin d'avoir 2 récoltes en une année. La troisième visite fut celle d'une coopérative qui achète la production de 1000 agriculteurs, vend des semences et transforme les produits (en huile par exemple). Les prix ne suivent pas les cours du marché, ils sont fixés par les agriculteurs. Il y a 3 magasins de ce type dans le Tamil Nadu.
La visite suivante concernait la production de pastèques. La surface de pastèques est de 4 âcres, soit 1,6 hectares. Les fruits sont sous une bâche, qui est changée toutes les 2 récoltes. Une partie de la production est exportée en Australie.
En face de cette parcelle, un agriculteur utilisait une charrue tirée par 2 bœufs, et un de nous a pu essayé cette pratique, sans beaucoup de succès.
Après ça, nous sommes partis pour une autre visite, qui concernait l'agriculture biologique. L'agriculteur nous a expliqué qu'il dépensait 500 roupies par hectare pour produire alors qu'une agriculture conventionnelle en utilise 5000. Tout est produit sur l'exploitation (fumier, poudre de corne, mélange de feuilles et d'urine de vache...).
En Inde, aucune restriction sur l'épandage existe, contrairement à la France. La dernière visite était également celle d'une exploitation biologique. Les productions sont : guava, noix de coco et sapota. Après cette matinée bien chargée en visite, nous avons eu toute l'après midi pour nous reposer. Sauf pour les filles, séance essayage de saris avec maquillage et bijoux, suivis d'une série de photos souvenirs.
Mylène CUIF
Carine HAUBRY
Départ 7h30 pour différentes visites autour du village. Nous avons pu observer la récolte à la main de la canne à sucre, et même y goûter.
Les salariés sont payés à la tâche ; en moyenne, ils coupent 1 tonne par jour par personne, ce qui leur fait un salaire de 550 roupies par jour. Les cannes à sucre sont envoyées dans un centre qui enlève les bourgeons qui seront replantés après avoir passé 20 jours sous serre. Nous avons eu l'occasion de visiter ce centre, où nous avons appris que la quantité de sucre dans les cannes dépend de la variété ; le taux varie entre 10 et 12,5%. Le centre produit également des fleurs jaunes.
Elles sont sous serre et récoltées en mars-avril, puis soit des tomates soit des concombres sont cultivés afin d'avoir 2 récoltes en une année. La troisième visite fut celle d'une coopérative qui achète la production de 1000 agriculteurs, vend des semences et transforme les produits (en huile par exemple). Les prix ne suivent pas les cours du marché, ils sont fixés par les agriculteurs. Il y a 3 magasins de ce type dans le Tamil Nadu.
La visite suivante concernait la production de pastèques. La surface de pastèques est de 4 âcres, soit 1,6 hectares. Les fruits sont sous une bâche, qui est changée toutes les 2 récoltes. Une partie de la production est exportée en Australie.
En face de cette parcelle, un agriculteur utilisait une charrue tirée par 2 bœufs, et un de nous a pu essayé cette pratique, sans beaucoup de succès.
Après ça, nous sommes partis pour une autre visite, qui concernait l'agriculture biologique. L'agriculteur nous a expliqué qu'il dépensait 500 roupies par hectare pour produire alors qu'une agriculture conventionnelle en utilise 5000. Tout est produit sur l'exploitation (fumier, poudre de corne, mélange de feuilles et d'urine de vache...).
En Inde, aucune restriction sur l'épandage existe, contrairement à la France. La dernière visite était également celle d'une exploitation biologique. Les productions sont : guava, noix de coco et sapota. Après cette matinée bien chargée en visite, nous avons eu toute l'après midi pour nous reposer. Sauf pour les filles, séance essayage de saris avec maquillage et bijoux, suivis d'une série de photos souvenirs.
Mylène CUIF
Carine HAUBRY
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire